Pourquoi le gouvernement a fait le choix du confinement ?
Pourquoi confiner en sachant que cela va tuer ?
Pour les « complotistes », il ne fait aucun doute que l'objet était de tester la volonté d'un peuple à demander lui-même la suppression de ses droits fondamentaux pour échapper au « chaos » supposé du « fléau ».
Il est à noter que si test il y a eu, les instigateurs n'auraient pu rêver mieux.
Nous savons désormais qu'il est possible d'asservir la planète entière avec une résistance quasi nulle.
Pour les « membres de l'église du coronavirus » ou du Ministère de la Vérité, il ne fait aucun doute que le confinement avait pour objet « d'aplanir la courbe » et éviter la saturation des lits de réanimation.
Le seul reproche qu'ils pourraient faire au gouvernement est d'avoir tardé un peu pour initier le confinement.
Je reviendrai plus tard sur ce mensonge d'État et cet échec cuisant qui a bien sûr été totalement occulté par le gouvernement et la « cour du roi ».
Pour autant mes questions demeurent.
J'invite toute personne qui se pose des questions à lire ce texte et se faire sa propre opinion.
Le confinement d'un point de vue historique.
L'histoire du monde a prouvé qu'à une exception près, jamais un confinement n'a réussi à contenir une épidémie, sauf à l'échelle d'un village ou d'une petite ville.
Un confinement, pour qu'il fonctionne doit être total, c'est à dire qu'aucune personne contaminée ne doit franchir le blocus.
L'histoire nous montre en effet qu'il suffit qu'une seule personne contaminée passe au travers du filet pour que l'édifice tout entier s'effondre.
Et bien sûr, il faut confiner avant que le virus ne soit répandu partout sinon on protège les personnes autour de la zone confinée mais pas celles qui sont à l'intérieur de la zone confinée.
De fait, confiner la France, en laissant une circulation des individus (même fortement réduite)...
Alors qu'au 17 mars nous comptions officiellement déjà 1200 malades (donnée qui n'est qu'un indicateur sans la moindre fiabilité et donc sous-évalué du fait de l'absence de tests sur des échantillons représentatifs de français) ne peut que conduire à un échec.
De plus, nous n'avons ni fermé les frontières hermétiquement, ni mis en quarantaine les personnes qui entraient encore en France.
Nous avons donc introduit (volontairement) des chevaux de Troie.
POURQUOI, TOUT EN CONNAISSANT L'HISTOIRE DES CONFINEMENTS ET LA SITUATION DU PAYS DÉJÀ EN PLEINE ÉPIDÉMIE, ET LES MODALITÉS DU CONFINEMENT, LE PRÉSIDENT VA PRENDRE UNE TELLE DÉCISION ALORS QUE LES CONDITIONS DE L'ÉCHEC SONT DÉJÀ TOTALEMENT RÉUNIES ?
Dans cette hypothèse confiner la France revient à protéger les pays à l'extérieur.
Fabriquer la peur pour faire accepter le confinement.
IL EST ÉVIDENT QUE LE GOUVERNEMENT ET LES MÉDIAS DU MINISTÈRE DE LA VÉRITÉ ONT FABRIQUÉ JOURS APRÈS JOURS UNE PANIQUE POUR FAIRE EN SORTE QUE LE PEUPLE DEMANDE LE CONFINEMENT.
Ils prenaient soin de ne JAMAIS mettre les chiffres en perspective, laissant croire que ces morts étaient nombreux alors même qu'ils étaient totalement négligeables à l'échelle de la mortalité quotidienne et d'autres maux saisonniers comme la grippe.
Jamais des journaux n'avaient distillé autant, et avec délectation, jours après jours, le nombre de victimes.
Nous avons mangé du « fléau » 24h/24 pendant des semaines et des mois.
Au point qu'encore aujourd'hui, 4 juin, alors que l'épidémie est terminée en France, de très nombreuses personnes sont terrorisées et se plient volontairement à mascarade, à cette distanciation sociale totalement inutile qui relève, comme le confinement, de la pensée magique moyenâgeuse.
Mais pourquoi confiner pour le coronavirus ?
Le coronavirus est-il un tueur aveugle qui frappe au hasard ses victimes ?
Le confinement est l'arme de l'impuissance, elle est le symbole de l'incapacité d'un pays à gérer une épidémie.
On confine une population face à un fléau sur lequel nous n'avons aucune emprise (comme la peste au moyen-âge), pas pour un tueur comme le COVID19 qui cible ses victimes.
Le confinement est une arme du moyen-âge.
Que le gouvernement décide de nous manipuler, décide de nous faire croire que nul n'est à l'abri pour nous faire accepter le confinement a un sens mais cela n'explique pas la décision.
Le président de la République a pris la décision de confiner le 17 mars, notamment sur un document rédigé par ses copains (le conseil scientifique) le 12 mars.
Au moment de cette décision, L'ÉPIDÉMIE ÉTAIT FINIE EN CHINE AU POINT QUE DES ÉTUDES AVAIENT DÛ ÊTRE INTERROMPUES AVANT LEUR TERME, FAUTE DE PATIENTS.
Depuis le mois de janvier et février 2020, les chinois avaient fait un travail remarquable et publié bon nombre d'études sur ce coronavirus qui commençait à nous frapper.
Que savions-nous largement depuis début mars et qui n'a PAS été démenti depuis :
Que le virus touchait principalement des personnes âgées et qui plus est des personnes âgées en mauvaise santé.
L'âge médian des décès était de 83 ans.
Les enfants n'étaient pas touchés, aucun décès.
Les personnes plus « jeunes » (plus de 50 ans) qui décédaient avaient des pathologies qui étaient ciblées (obèses, maladies respiratoires, cardiaques, etc.)
Seules 0,8% des personnes décédées étaient sans pathologies connues.
Cela représenterait environ 230 personnes à ce jour sur les 29 000 décès en France, imaginez donc au moment du confinement.
A noter que d'autres pays, dont l'épidémie avait débuté plus tôt, comme par exemple la Corée du Sud avaient des résultats similaires.
Donc au contraire d'un monstre, d'un psychopathe qui tue ses victimes au hasard :
LA COMMUNAUTÉ SCIENTIFIQUE CONNAISSAIT PARFAITEMENT AVANT LE CONFINEMENT LE PROFIL DES VICTIMES POTENTIELLES DU CORONAVIRUS.
Pourquoi prendre la décision de confiner une population entière et de tuer l'économie ? (pour un président de la République ex associé de chez Rothschild).
Et ce alors même que le profil des personnes à risque est sans le moindre doute connu avant le début du confinement ?!
(Je veux bien entendre la thèse du doute mais quand on vous dit que toutes les études tendent à prouver que le port de la ceinture de sécurité protège, on ne va pas prendre la décision d'interdire la ceinture au prétexte que l'on est pas totalement sûr.
On part de l'hypothèse probable et non de l'hypothèse improbable...)
DONC DÉBUT MARS :
LE PRÉSIDENT SAIT QUE LES CONFINEMENTS NE FONCTIONNENT PAS.
LE PRÉSIDENT SAIT QUE LES CONDITIONS DU CONFINEMENT À LA FRANÇAISE SONT PLUS QUE DÉFAVORABLES.
LE PRÉSIDENT SAIT QUE LE CORONAVIRUS NE TUE PAS AU HASARD.
LE PRÉSIDENT CONNAÎT LE PROFIL PRÉCIS DES VICTIMES DU CORONAVIRUS.
Et il prend la décision de confiner la population générale et tuer l'économie !
(je veux bien admettre qu'il n'en a rien à faire des droits de l'homme et que pour lui « la fin justifie les moyens...)
Vous comprendrez bien, en ces circonstances, que les complotistes aient de la matière.
La thèse du pays sous-développé et des tests.
Le président sait début mars, que la France est un pays sous-développé dont l'industrie a été détruite par le libéralisme qu'il incarne.
Il sait que nous vivons dans l'illusion d'un monde où la prestation de service peut faire la richesse d'un pays plus que la vente d'Airbus.
De fait toute la production de médicaments, de masques, de tests a été délocalisée en Chine ou en Inde.
Nous étions et sommes encore aujourd'hui dans l'incapacité de faire des tests à grande échelle.
Pendant que, début mars, le pays développé voisin de la France appelé l'Allemagne faisait 500 000 tests par semaine, le pays sous-développé que nous sommes arrivait péniblement à en faire quelques milliers.
A noter que durant la crise je n'ai jamais entendu la France faire appel à l'aide humanitaire pour demander de nous envoyer en urgence des tests.
Les pays qui ont les meilleurs résultats en terme de mortalité par habitant ont tous mis en place une politique de détection, de test, d'isolement et de protection des personnes à risque.
Il se trouve que les pays qui ont fait le plus de tests ne sont pas ceux qui ont les meilleurs résultats.
L'Italie qui, comme nous, a des résultats catastrophiques, a beaucoup testé sa population mais... pour rien.
La question que l'on peut se poser est double :
Le confinement généralisé pouvait-il être de nature à protéger les personnes à risque que nous étions incapables de tester ?
Était-il possible de mettre en place une politique de protection des personnes à risque sans pour autant les tester ?
LE PRÉSIDENT POSSÉDAIT LES RÉPONSES À CES QUESTIONS AVANT LE CONFINEMENT.
D'UNE PART IL POSSÉDAIT TOUS LES ÉLÉMENTS OBJECTIFS POUR SUPPOSER QUE LE CONFINEMENT SERAIT UN ÉCHEC.
D'AUTRE PART, CONNAISSANT PARFAITEMENT LE PROFIL DES PERSONNES À RISQUE, IL EUT ÉTÉ POSSIBLE DE LES ISOLER, LES CONFINER POUR LES PROTÉGER.
(Ne me parlez pas de droits de l'homme, on pourrait confiner tout le monde mais pas uniquement les personnes en danger de mort ?)
Il est vrai qu'il devient sans doute plus compliqué de convaincre les personnes à risque de se confiner si la population générale est consciente de l'absence de dangerosité de ce virus pour les personnes jeunes ou en bonne santé.
Le confinement général à la française était-il de nature à protéger les personnes à risque ?
Il est facile aujourd'hui de répondre « non » au regard des 29 000 décès en France, 4 fois plus qu'en Allemagne rapporté au nombre d'habitants, mais hier ?
Pour autant LE PRÉSIDENT AVAIT TOUS LES ÉLÉMENTS OBJECTIFS POUR SAVOIR QUE SON CONFINEMENT NE PROTÉGERAIT PAS ET TUERAIT DE FAIT LES PERSONNES FRAGILES :
AUCUNE POLITIQUE DE PRÉVENTION PARTICULIÈRE N'ALLAIT ÊTRE MISE EN PLACE POUR LES PERSONNES À RISQUE.
PAS DE CAMPAGNES CIBLÉES POUR DIRE AUX OBÈSES PAR EXEMPLE DE NE PAS SORTIR DE CHEZ EUX OU DE CONTACTER IMMÉDIATEMENT LES URGENCES EN CAS DE PREMIERS SYMPTÔMES...
NOUS ALLIONS DEMANDER, PENDANT DES SEMAINES, AUX PERSONNES MALADES DE RESTER CHEZ ELLES, DE PRENDRE DU PARACÉTAMOL ET DE CONTACTER LES SERVICES D'URGENCE UNIQUEMENT EN CAS D'AGGRAVATION DES SYMPTÔMES.
LES PERSONNES À RISQUE, ESSENTIELLEMENT LES PERSONNES ÂGÉES DONC, ALLAIENT ÊTRE CONFINÉES ENSEMBLE, ESSENTIELLEMENT DANS LES MAISONS DE RETRAITE SANS ISOLEMENT DES PERSONNES SYMPTOMATIQUES.
La preuve en est du nombre importants de décès dans les Ehpad.
Au 15 mars, les journaux indiquaient qu'il y avait 56 personnels soignants contaminés dans les hôpitaux de Paris.
Le personnel soignant au contact du virus n'a jamais été testé dans son intégralité ni systématiquement isolé en cas de symptômes.
Pendant que des infirmières se suicidaient en Italie parce qu'elles avaient répandu la mort en étant contaminées...
En France, nous louions l’héroïsme de tel ou tel médecin qui, malgré sa maladie et ses symptômes, avait continué de soigner des malades, faisant ainsi le sacrifice de sa vie !
Preuve en est que LE PERSONNEL SOIGNANT ÉTAIT LUI-MÊME UN VECTEUR DE CONTAMINATION ET DE PROPAGATION DU VIRUS ENTRE LES PERSONNELS FRAGILES ET QUE C'ÉTAIT CONNU AVANT LE DÉBUT DU CONFINEMENT.
Sans compter, même s'il existe un débat à ce jour sur ce sujet, que l'absence de contamination dans la population générale est contre-productive en terme d'immunité de masse.
Il est intéressant à se titre de regarder la courbe de décès au Brésil qui est très plate et très longue.
Elle ressemble étonnamment à ce qu'aurait été censé être la courbe de décès française confinée. Il semblerait donc que cette population jeune et non confinée aurait ralenti l'épidémie par de l’immunité de masse.
LE PRÉSIDENT POSSÉDAIT DE TRÈS NOMBREUX ÉLÉMENTS OBJECTIFS POUR SAVOIR QUE LE CONFINEMENT GÉNÉRALISÉ DE LA POPULATION SERAIT DE NATURE À AUGMENTER LE TAUX DE CONTAMINATION DES PERSONNES À RISQUE EN PLUS DE DÉTRUIRE L'ÉCONOMIE DU PAYS.
Au final, le confinement a-t-il fonctionné ?
Nous savons que les copains du président ont sorti une étude disant que le confinement avait épargné 60 000 vies mais qu'en est-il ?
En premier lieu, nous pouvons rappeler que les pays qui n'ont pas ou peu confiné ET qui ont mis en place une politique de protection des personnes à risque ont un taux de mortalité par habitant beaucoup plus faible (entre 4 et 70 fois moins) que le pays soit très peuplé ou pas.
Je vous rappelle aussi que LE LEITMOTIV DU CONFINEMENT ÉTAIT « APLANIR LA COURBE » AFIN D'ÉVITER LA SATURATION DES SERVICES DE RÉANIMATION.
(je vous rappelle qu'aucune politique de protection des personnes à risque n'a été mise en œuvre.)
Déclarations du 13 mars :