Coronavirus : Et si les masques tuaient plus qu'ils ne sauvent ? - 7 milliards d'esclaves et demain ? Vers un capitalisme de l'humain, livre d'Alain Tortosa

7 Milliards d'esclaves et demain ?
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« Coronavirus : Et si les masques tuaient plus qu'ils ne sauvent ? »

Fatigue.
Manque d'oxygène pour respirer.
Difficultés respiratoires.
Suffocation.
Troubles respiratoires.
Crises cardiaques.
Pouponnière à virus.
Aggravation de l'état des personnes infectées.
Augmentation de la quantité de virus expulsés.
Risque accru d'endommager les poumons.


Le 30 avril

Depuis le début du confinement de très nombreux salariés portent des masques toute la journée sur leur lieu de travail.

A compter du 11 mai ils devraient être obligatoires dans les transports.  
De nombreux salariés passent plus de 2 heures par jour dans les transports et que dire d'un trajet en bus ou en train de plus de 8 heures.
De plus, des usagers terrorisés par le virus, grâce aux médias, n'hésitent plus à porter un masque dans la rue, chez les commerçants ou dans leur véhicule.
Dans certains Ehpad, les masques ont été distribués aux résidents.  

Ce document aborde uniquement la notion de port du masque dans une population générale en bonne santé.
Il ne remet absolument pas en question la nécessité de porter des masques de protection dans la relation patients <> soignants ni de la nécessité, pour une personne fragile de se protéger avec un masque y compris dans la sphère publique

Les masques sont-ils inoffensifs  ou dangereux ?

D'aucuns pensent qu'il n'est pas légitime de se poser la question et encore moins d'y répondre.
Mais je la pose quand même, libre à chacun de se faire sa propre opinion.
Je livre ici, non pas mon opinion mais le point de vue de spécialistes dont les propos ne sont pas ou peu relayés :

  • Selon le Dr D Saha, scientifique et directeur au Central Pollution Control Board, ministère de l'environnement en Inde :
    « Une personne portant n'importe quel type de masque fait face à une résistance respiratoire qui oblige l'utilisateur à inhaler plus qu'il ne le ferait sans le masque. Cela peut avoir plusieurs effets physiologiques néfastes lorsque le masque est porté pendant de longues périodes.
    De plus, le dioxyde de carbone qui est expiré peut être piégé dans la chambre du masque et re-rentrer dans le corps chaque fois que l'utilisateur inhale.
    Cela libère moins d'oxygène dans le corps que lorsque la personne ne porte pas de masque qui peut entraîner un manque d'oxygène, une suffocation, des troubles respiratoires et des crises cardiaques»
    De plus
    « L'humidité provenant de l'expiration à l'intérieur du masque, lorsqu'elle est en contact constant avec le corps humain chaud de 37 degrés Celsius, devient un endroit idéal pour le développement des virus et des bactéries et cela pourrait entraîner la croissance de microbes sur les masques et aider à la propagation de maladies aéroportées comme la grippe. »


Un article publié en Avril 2020 dans le British Journal of Medecine précise :


  • « Les masques faciaux rendent la respiration plus difficile.
    Pour les personnes atteintes de bronchopneumopathie chronique obstructive, les masques faciaux sont en fait intolérables à porter car ils aggravent leur essoufflement.
    De plus, une fraction du dioxyde de carbone précédemment expiré est inhalée à chaque cycle respiratoire. Ces deux phénomènes augmentent la fréquence et la profondeur de la respiration et, par conséquent, ils augmentent la quantité d'air inhalé et expiré.
    Cela peut aggraver la charge morbide du Covid-19 si les personnes infectées portant des masques répandent plus d'air contaminé.
    Cela peut également aggraver l'état clinique des personnes infectées si l'augmentation de la respiration pousse la charge virale dans leurs poumons ».

Un article de l'Université de Stanford d'avril 2020 précise :

  • « Mais en filtrant ces particules, le masque rend également la respiration plus difficile. On estime que les masques N95 (FFP2) réduisent l'apport d'oxygène de 5 à 20%. C'est important, même pour une personne en bonne santé.
    Cela peut provoquer des étourdissements et des vertiges. Si vous portez un masque assez longtemps, il peut endommager les poumons. Pour un patient en détresse respiratoire, cela peut même mettre sa vie en danger. »

    
Une étude publiée dans je journal « International Archives of Occupational and Environmental Health » sur les conséquences du port du masque sur des personnes en bonne santé indique :

  • « Les résultats de l'expérience démontrent que la fréquence cardiaque, le microclimat (température, humidité) et les évaluations subjectives ont été considérablement influencés par le port de différents types de masques faciaux...
    Une résistance respiratoire élevée a rendu difficile pour le sujet de respirer et de prendre suffisamment d'oxygène. La pénurie d'oxygène stimule le système nerveux sympathique et augmente la fréquence cardiaque (Ganong 1997). Il était probable que les sujets se sentaient inaptes, fatigués et gênés dans l'ensemble pour cette raison. White et al. (1991) ont constaté que les augmentations de la fréquence cardiaque, de la température de la peau et des évaluations subjectives peuvent entraîner une tension supplémentaire importante pour le porteur et peuvent réduire la tolérance au travail...
    En d'autres termes, la perception subjective de la difficulté et de l'inconfort respiratoires augmentait considérablement avec l'augmentation du stress thermique...
    Par conséquent, on peut conclure que le N95 (FFP2) et les masques chirurgicaux peuvent induire des températures et une humidité significativement différentes dans les microclimats à l'intérieur des masques faciaux, qui ont des influences profondes sur la fréquence cardiaque et le stress thermique et la perception subjective de l'inconfort. »

  
Un document publié par l'Institut National de Recherche et de Sécurité indique :
  • « La présence de fuite rend inopérante toute protection respiratoire.
    Il est primordial de choisir un masque ou un demi-masque adapté à sa morphologie en réalisant des essais d’ajustement.
    L’étanchéité d’une pièce faciale peut être anéantie par une barbe (même de quelques heures), des favoris, des cicatrices, des éruptions cutanées, des lunettes
    Un médecin peut être amené à juger au cas par cas de l’absence de contre-indication au port d’un appareil de protection respiratoire en fonction de l’état de santé et des contraintes liées à la tâche à effectue. »


Le Groupe d’Étude sur le Risque d’Exposition des Soignants aux agents infectieux précise :
  • « Pré-requis au port d’un Appareil de Protection Respiratoire»
    Bien positionner le masque pour éviter de générer des fuites :
    Les élastiques : un sur le haut du crâne et un sur la nuque.
    Barrette nasale à lisser avec les deux mains
    Pas de barbe : la barbe est contre-indiquée pour le port de masque
    NB : les tests in-vivo de la norme sont réalisés chez des sujets sans barbe, choisis selon des critères morphologiques !!! »


L'étude « Les appareils de protection respiratoire. Éléments médicaux de détermination d'aptitude à leur utilisation » précise notamment :
  • « Les patients présentant des « troubles psychiques ou maladies mentales présents ou passés, lorsqu'on ne pas exclure avec certitude une récidive, une arriération mentales, des troubles grave du comportement », ainsi que les « alcooliques » et les « toxicomanes » sont inaptes au port d'appareils de protection respiratoire. »
    « Le médecin du travail détermine l'aptitude des sujets au poste de travail. Il est confronté au dilemme suivant : une sélection draconienne conduit à exclure des sujets qualifiés, l'absence de sélection peut mettre en situation de danger certains individus. »
    « Examen clinique : L'interrogatoire du sujet recherche les antécédents médicaux et apprécie l'existence de troubles psychologique notamment des manifestations d'anxiété ou de claustrophobie. »
    « Les étiologies dermatologiques constituent l'essentiel des contre-indications véritables ; dermatoses allergiques ou irritatives à la pièce faciale, port de barbe, de favoris ou de moustaches sources d'une étanchéité imparfaite, acné ou folliculites exacerbées par le port du masque. »
    « Certaines recommandations excluent du port d'appareils de protection respiratoire les sujets âgés de 50 ans et plus. Ceux-ci ont habituellement une VO2 max diminuée et utilisent à l'exercice une fraction d'O2 supérieure à celle de sujets plus jeunes. De ce fait, ils seraient enclins à moins bien tolérer un appareil de protection respiratoire. »

C'est une grande spécialité française de ne s'intéresser qu’aux avantages potentiels d'un dispositif tout en négligeant totalement des effets secondaires réels ou gravissimes.

Dans le cas du port du masque cela pourrait faire hurler car leur efficacité n'a même pas été prouvée.

Combien de personnes fragiles pourraient décéder en France du port du masque ?

Bref rappel sur l'efficacité des masques dans la lutte contre la propagation du coronavirus.
Ni les études, ni l'OMS ne le conseillent, l'OMS souligne que mal porté il pourrait avoir des effets inverses et notamment qu'il pourrait faire baisser la vigilance des utilisateurs et ainsi avoir des effets contre productifs. voir https://7milliards.fr/maskoms

Ils sont à la fois  
  • Leur utilité n'est pas prouvée dans la sphère publique.
  • Ils sont inconfortables
et ils
  • détruisent le vivre ensemble

Et maintenant j'apprends grâce à des études anglo-saxonnes qu'ils pourraient être dangereux.  
L'usage des masques s’avèrerait être d'autant plus dangereux, voir mortel, que l'on serait fragile ou qu'on les porterait longtemps. cf. documents.
Rien d'étonnant à cela, il suffit de penser que notre corps n'est pas prévu pour fonctionner avec des masques, qui de fait, sont contre-nature.

Et jamais personne ne pose la question quant à  savoir si la fin justifie les moyens ?
  
Le ministère du travail précise à propos des masques.
« L'inconvénient de ce type d’appareils est que le passage de l’air au travers du filtre est assuré par les seuls échanges respiratoires, ce qui les rend difficiles à supporter en cas d’effort durable. Ils ne sont donc adaptés que pour les travaux ponctuels et de faible intensité. »

Et vous voudriez qu'un collégien les porte toute la journée ?!

Alors pourquoi les rendre obligatoire y compris au collège !
Demandez donc à votre maire, à l'académie dont dépend votre enfant ou à votre député.

Rappel données coronavirus :
France confinée 5 fois plus de décès par habitant qu'en Allemagne non confinée.
France confinée 70 fois plus de décès par habitant qu'en Corée du Sud non confinée.

Plus de 80% des décès en France seraient imputables à la gestion du gouvernement et NON au coronavirus.
Dans une quarantaine, on confine les malades, pas les personnes en bonne santé !
Merci
Alain Tortosa 
Auteur du livre « 7 milliards d'esclaves et demain ? » 
Texte crée le 30 avril 2020
https://7milliards.fr/masquedanger  
  

STOP CONFINEMENT, NON AU MASQUE, ET PROTECTION DES PLUS FRAGILES

Sources :
Voir l'ensemble de mes textes depuis le site https://7milliards.fr

https://travail-emploi.gouv.fr/sante-au-travail/prevention-des-risques-pour-la-sante-au-travail/mesures-et-moyens-de-prevention/article/masques-de-protection-respiratoire

https://scroll.in/pulse/860276/no-good-choices-a-mask-may-block-out-some-pollution-but-have-other-ill-health-effects
No good choices: A mask may block out some pollution but have other ill health effects
A mask may also cause respiratory distress and become a hotbed for microbes to thrive.

https://www.bmj.com/content/369/bmj.m1435/rr-40
British Medical Journal  Face masks for the public during the covid-19 crisis  

https://news.stanford.edu/2020/04/14/stanford-researchers-reengineer-covid-19-face-masks/
COVID-19 prompts Stanford engineers to rethink the humble face mask

https://europepmc.org/article/med/15918037
Int Arch Occup Environ Health. 2005 Jul;78(6):501-9. Epub 2005 May 26.
Effects of wearing N95 and surgical facemasks on heart rate, thermal stress and subjective sensations.

http://www.inrs.fr/dms/inrs/CataloguePapier/ED/TI-ED-98/ed98.pdf
Les appareils de protection respiratoire – INRS 2009

https://www.geres.org/wpcontent/uploads/2018/11/SF2H_GERES_2018_RisqueRespiratoire.pdf

https://www.draeger.com/Library/Content/dossier-medico-technique-tc47-fr.pdf
Les appareils de protection respiratoire. Eléments médicaux de détermination d'aptitude à leur utilisation. V. JOUANNIQUE

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