Notre
France de 2020 voit apparaître des collabos zélés, des petits
seigneurs locaux, qui ont enfin la possibilité de dissimuler leur
petitesse par des lois locales et liberticides.
Nous assistons à la revanche de
médiocres et de petits... tels que nous les voyons fleurir dès la
venue de sociétés totalitaires ou de régimes dictatoriaux.
Enfin ces petits chefs, ces adjudants,
vont pouvoir afficher leur « valeur », leur « grandeur »,
leur « force », leur « caractère ». Une
revanche sur leur passé ?
Maires, préfets, inspecteurs
d'académie, etc. sont en première ligne...
Enfin « ils » vont pouvoir
être sous le feu des « merdias », enfin « ils »
vont être reconnus et craints...
Mais tous ces petits chefs, tous
ces aigris, tous ces médiocres qui rêvent de vivre quelques mètres
au dessus de leur vraie valeur ne pourraient marquer leur
territoire, « l'histoire », sans le soutien discipliné
des collabos de l'ombre.
Sans ces complices, sans tous ces
lâches, sans tous ces terrorisés... qui appliquent l'arbitraire
silencieusement et sans conviction, ces « seigneurs »
n'auraient n'a pas la possibilité de faire appliquer leurs décisions
illégales et liberticides.
Nous vivons dans une ère où
l'irresponsabilité est devenue le mètre étalon de notre société.
Chacun y va de son parapluie au point
que le parapluie recouvre désormais l'intégralité de la planète
Terre.
Mais quid de ces collabos de
l'ombre, de tous ces complices silencieux, de tous ces chefs
d'établissements, de tous ces encadrants, de tous ces enseignants,
de tous ces contrôleurs de trains, de tous ces vigiles,... qui
n'assument pas leurs actes illégaux et liberticides et se défaussent
ou se référent à leur hiérarchie ?
La hiérarchie,
le merveilleux organe au service de « l'irresponsabilité ».
« Je ne suis pas responsable,
je ne fais qu'appliquer des ordres et des directives »
« Croyez-bien que ce n'est pas
contre vous, croyez-bien que ce n'est pas contre votre enfant si
j'applique des directives maltraitantes »
Vous qui pensez que l'obligation du
port du masque dans les établissements scolaire est totalement
stupide, inefficace et même dangereux pour la santé des enfants,
comment faites-vous pour appliquer ces règles et dormir la nuit ?
Vous les enseignants qui avez une
conscience, comment osez-vous demander à un enfant qui cherche à
respirer de remonter son masque sur le nez ?
N'êtes-vous pas là au service des
enfants, au service de leur bien-être, au service de leur
épanouissement, au service de l'apprentissage de leur réflexion, de
leur capacité à penser par eux-même,...
Êtes-vous là pour leur apprendre à
obéir aveuglement à des directives inutiles, inefficaces,
dangereuses, liberticides dont le principal objet est un parapluie
juridique ?
Êtes-vous là pour apprendre à vos
élèves à tout accepter, à obéir, à ne pas critiquer, à suivre
un arbitraire aveugle ?
En quoi votre action ou plutôt votre
inaction présente, diffère-t-elle des méthodes des dictatures de
gauche ou de droite, d'endoctrinement et de lavage de cerveau dès le
premier âge ?
Mais si votre adhésion n'est pas
idéologique...
Au nom de quoi acceptez vous ?
Au nom d'une obéissance à
l'arbitraire d'une hiérarchie ?
Au nom du risque de recevoir un blâme ?
Comment pouvez-vous vous réfugier
derrière votre devoir de réserve ?
Elle est où la limite ?
Elle est où VOTRE limite ?
Des enfants exclus d'établissements
parce qu'ils veulent respirer ? (Réel)
Des gendarmes armés au sein ou devant
des établissements pour vérifier que le port du masque est bien
appliqué ? (Réel)
Vous sentez-vous encore les héritiers
de Jules Ferry ou de la révolution française ?
Préviendrez-vous la hiérarchie ou les
forces de l'ordre si un élève refuse de remettre son masque pour
respirer ?
Amènerez-vous les enfants à
l'infirmerie et tiendrez-vous l'écouvillon pour les tests pratiqués
de force « pour le bien de la société »?
Amènerez-vous les enfants à
l'infirmerie et tiendrez-vous la seringue pour la vaccination forcée
« pour le bien de la société » ?
Resterez-vous dans le silence parce que
vous avez un devoir de réserve ?
Un devoir de réserve ou de
collaboration à l'arbitraire ?
...Et ne parlons pas de la profonde
lâcheté des chefs d'établissements
Chef d'établissement,
quel métier valorisant au temps du Covid !
Vous en êtes à expulser des enfants
qui ne portent pas la muselière imposée par des seigneurs locaux.
Vous en êtes à refuser l'accès à
des enfants munis de certificats médicaux les autorisant à ne pas
porter de masque pour des raisons de santé !.
Le faites-vous par conviction ?
Honnêtement, le faites-vous pour
lutter contre la 2ème vague d'un virus mortel dont le port du masque
chez des enfants (non concernés pas ce virus) permettrait d'échapper
au fléau ?
Ou
Le faites-vous pour obéir à un
seigneur de guerre, à un inspecteur d’académie, à un préfet qui
s'arroge le droit d'imposer ses propres lois pour passer pour un
héros ou se protéger d'éventuelles poursuites juridiques ?
Où est votre courage ?
Savez-vous qu'il suffit de dire
« non »,sans heurs et sans violence ?
Visiblement non !
Vous avez peur de parents paniqués ou
décérébrés qui porteraient plainte contre vous si d'aventure vous
refusiez d'appliquer les ordres liberticides et illégaux des
préfets ?
Alors ne vous étonnez-pas si vous
vous mettez à être recevoir des plaintes et être poursuivis par
des parents pour vos actes illégaux et maltraitants, voire pour une
mise en danger d'autrui (problèmes respiratoires) !
Pitoyable... vous n'assumez même pas
le courage de notifier par écrit vos actes, tant votre couardise et
votre obéissance sont grands.
J'imagine que vous transmettez
l'information à la hiérarchie qui décide si vous avez le droit ou
pas de confirmer vos tristes décisions par écrit.
J'espère que vous serez, sinon
rattrapé un jour par la justice des hommes, pour le moins rattrapé
par votre conscience.
Vous pourrez dire « je faisais
parti des complices de l'ombre, » « j'ai activement et
silencieusement participé à cette maltraitance institutionnelle »
N’espérez pas ma compassion...
Je ne sais si je, si nous, sortirons
vainqueur de notre lutte pour la science, la justice, la démocratie,
les droits de l'homme, l'humanité, la liberté et j'en passe,...
mais une chose est sure... je vivrai peut être de regrets mais je
peux me regarder dans un miroir.