« Lignes directrices internationales pour la certification et la classification (codage) des décès dus a la COVID-19, 20 avril 2020 »
« 2. DÉFINITION DES DÉCÈS DUS A LA COVID-19
À des fins de surveillance, est considéré comme UN « DÉCÈS DU À LA COVID-19 » UN DÉCÈS RÉSULTANT D’UNE MALADIE CLINIQUEMENT COMPATIBLE, CHEZ UN CAS PROBABLE OU CONFIRMÉ DE LA COVID-19, en l’absence de toute autre cause évidente de décès sans lien avec la maladie à coronavirus (par exemple, un traumatisme). Aucune période de rémission complète de la COVID-19 ne devrait avoir eu lieu entre la maladie et le décès. »
« UN DÉCÈS DÛ À LA COVID-19 NE PEUT PAS ÊTRE IMPUTÉ À UNE AUTRE MALADIE (PAR EXEMPLE, À UN CANCER) ET DOIT ÊTRE COMPTABILISÉ INDÉPENDAMMENT DES AFFECTIONS PRÉEXISTANTES qui sont soupçonnées d’avoir déclenché une évolution grave de la COVID-19. »
« La COVID-19 doit être inscrite sur le certificat médical de décès pour TOUTES les personnes décédées lorsque cette maladie a causé ou contribué au décès, ou est soupçonnée de l’avoir fait. »
- Ce virus est anodin pour les personnes en bonne santé (confirmé par le président du conseil scientifique dans une interview au JDD)
Il ne frappe pas ses victimes au hasard telle une peste.
- Ce virus s'attaque majoritairement aux personnes âgées aux défenses immunitaires défaillantes avec un âge médian des décès de 83 ans.Cet âge médian étant le même âge médian que celui des décès en France, il est de fait totalement impossible que ce virus entraîne une forte mortalité annuelle en France.
- Les enfants ne sont pas concernés et ont été victime de maltraitance institutionnelle (confirmé par l'association française de pédiatrie).Une vingtaine de morts sur la planète comparé aux 500000 décès « officiels » sans commune mesure avec la grippe saisonnière qui fait des ravages chez les enfants.
- Le confinement est un échec absolu et avait pour objectif de cacher que nous étions un pays sous-développé incapable de tester et protéger la population à risque (confirmé par le président du conseil scientifique dans une interview au JDD).5 à 70 fois plus de morts par habitant en France que dans les pays qui n'ont pas confinée leur population mais qui ont mis en place une politique de protection des personnes à risque.Pas le moindre aplanissement de la courbe jusqu'au pic épidémique, aplanissement qui pour autant nous avait été vendu pendant des semaines.Les études confirment que le délai médian entre la contamination et les décès est de 17 jours, contrairement à la croyance populaire.
- Le personnel soignant n'a proportionnellement pas payé un lourd tribu au coronavirus, la population générale a été proportionnellement plus endeuillée.
- Le nombre de décès en réanimation a été au moins de 40% et bon nombre de personnes âgées ont été victime d'acharnement thérapeutique au lieu de les laisser partir dans la dignité.
- Des hôpitaux publiques sont restés vides alors que l’hôpital de la même ville était saturé.
- Des hôpitaux privés sont restés vides parfois en face de l’hôpital publique saturé.
- Le port du masque grand public dans la sphère publique est une patte de lapin pour faire croire que l'État est là pour nous protéger.Le Chef de l'État a confirmé à Philippe de Villier, qu'il était un parapluie juridique pour Edouard Philippe.Non seulement le masque dans la sphère publique ne protège pas mais ses effets secondaires et contre productifs sont nombreux.Filtrer une virus avec un filtre à café revient à ramasser le sable le plus fin du monde avec une épuisette avec des trous de 3 cm.
- La distanciation de un mètre est issue d'une « étude » de 1930 à une époque où l'on ignorait la taille réelle des virus et leur comportement et encore moins les aérosols.Si le virus faisait 2 cm vous mesureriez plus de 1500 km.
- L'évolution du nombre de cas ne fournit strictement aucune information dès lors que l'on modifie le nombre de tests journaliers.En début d'épidémie la France faisait moins de 30000 tests par semaines alors même que l'Allemagne en faisait 500000.Il est de fait logique de voir une augmentation du nombre de cas lorsque l'on fait des campagnes de test, cela ne nous informe PAS de l'évolution de l'épidémie.L'augmentation du nombre de tests à l'échelon mondial est quasi exponentiel.Sans compter les nombreux cas de faux positifs.
- L'épidémie est terminée en Europe et en France.Depuis des semaines nous sommes déconfinés. Manifestations, mélanges, parcs, restaurants, campings, plages... et pas le moindre début d'une augmentation du nombre de décès. On fait des tests pour maintenir la peur et pour cacher ce mensonge mondial.
- Les campagnes contre Raoult et les fausses études publiées ou les études biaisées ont « bizarrement » conduit à adouber le Remdesivir, un médicament expérimental aux effets secondaires extrêmes et dont le prix de plusieurs milliers de dollars par patient pourrait faire réfléchir.
@7milliardsesclaves
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